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Ne cherche plus les clics, deviens la source.

Par Nicolas Audemar

Je vais être direct :
Le SEO qu’on a appris n’existe déjà plus. Sous sa même forme en tous cas !

On n’est plus dans “je prends la première position, j’attends le clic, je récupère le lead”.
On est dans un monde où l’IA intercepte la question, fabrique la réponse… et décide POUR l’utilisateur à qui faire confiance.

Et si tu (ton entreprise, ton client,…) n’es pas dans cette réponse-là, tu n’existes plus.
Pas “tu perds un peu de trafic”.
Tu n’existes plus.

Ça pique ? Très bien. On avance.

Anticiper les problèmes = anticiper les requêtes

Je vais prendre l’exemple du service client d’un de mes clients.

Et bien, il était habitué à répondre vraiment “très bien surtout quand ça brûle” selon son expression. Mais, j’ai dû lui annoncer le nouveau défi.
Lequel ?

Et bien de détecter le problème avant qu’il explose dans la tête du client, avant qu’il appelle, avant qu’il rage sur LinkedIn ou défunt Twitter (que je n’appelle toujours pas X) ou encore sur sa fiche Google my Business. Et c’est pourquoi je me fais envoyer les emails de support pendant un mois après le début d’une prestation….Je pense que tu m’as compris 😉

Bref traduction SEO :
Ton job n’est plus d’écrire un article une fois qui contient un mot-clé atteignant les 1 000 recherches/mois.
Ton job est d’anticiper les questions AVANT qu’elles génèrent du volume.

Comment tu fais ça concrètement :

  • Tu analyses les tickets support.
  • Tu écoutes les retours commerciaux, les plaintes, les comparaisons (“pourquoi chez vous c’est plus cher que…”).
  • Tu lis les forums, Reddit, avis, WhatsApp clients.
  • Tu repères les douleurs émergentes avant qu’elles deviennent “tendances” (<= j’avais écris « trendy » mais mon correcteur insiste sur tendances…ça fait un peu désuet non ?)
  • Tu publies une réponse claire, utile, humaine, signée par TA marque….et encore mieux l’expert dans le domaine dans la boite.

Celui qui publie en premier la réponse crédible devient automatiquement “la référence” sur ce sujet, et derrière tout le monde le cite. Encore une astuce pour avoir des liens gratuit sinon tu peux toujours voir cette vidéo.
Ça marche dans Google, dans l’IA de Google, dans ton LLM favoris, partout.

Morale de l’histoire :

Qui contrôle la naissance d’un sujet contrôle l’autorité future.

Comme je suis en train de le faire sur le thème de l’AI Overviews et AI Mode en France à travers webinars ou conférences sur le sujet.

On sort des arbres décisionnels. On parle humain.

Tu te souviens des vieux chatbots façon “1. Choisissez une option / 2. Confirmez / 3. Au revoir” ?
C’était lent, frustrant, déshumanisé.

Beaucoup de sites web fonctionnent encore comme ça : tunnels rigides, jargon plutôt…disons corporate, mais surtout zéro empathie.

Ce monde est mort ou va mourir progressivement par le choix des alternatives.

Aujourd’hui, les modèles IA (ChatGPT, Gemini, Claude…) comprennent le langage naturel. Ça c’est bien ! Du coup, les gens posent des vraies questions, dans leur ton, avec leurs mots, avec leurs fautes et travers.

Donc si ton contenu sonne comme un PDF juridique ou un manuel technique interne : la sanction tombe, tu n’es pas repris.
Tu es ignoré.

Ce que je recommande de faire désormais :

  • Rédiger comme tu parles à quelqu’un à 23h47 sur WhatsApp (ou par texto si tu n’as encore fais le switch… je taquine 😉 ).
  • Poser les vraies questions de tes buyers personas (“Est-ce que c’est normal si… ?”, “Combien ça coûte vraiment ?”).
  • Répondre sans bullshit, sans tourner autour.

Pourquoi c’est vital ?
Parce que l’IA réutilise l’information, mais aussi la manière dont tu la formules.
Et l’IA favorise les réponses claires, directes, compréhensibles à voix haute.

Si ta réponse ne passe pas à l’oral en une phrase simple, tu seras rarement choisi comme source « parlable ».
Et donc tu disparaîtras des assistants vocaux et des “AI Mode” qui répondent à la place de l’utilisateur. Ouais, désolé !

Stop à l’obsession “mot-clé unique”. Bienvenue dans l’autorité thématique.

Les modèles IA ne lisent pas “un mot-clé”.
Ils lisent un contexte. Ça c’est une différence importante. Je m’explique : il ne suffit plus d’avoir un article “Qu’est-ce que X ?”. Tu dois construire un bloc cohérent autour d’un besoin utilisateur :

  • Une explication claire du concept.
  • Une FAQ réelle (les vraies peurs, pas les questions marketing… désolé !).
  • Les risques / limites / avertissements (hyper critique en YMYL => santé, finance, légal).
  • Une comparaison honnête (“X vs Y ) mais aussi pour qui c’est mieux ?.
  • Une démonstration en vidéo.
  • Des preuves réelles (retours clients, cas d’usage, chiffres terrain).

Pourquoi ?
Parce que l’IA cherche des “sources complètes”, pas des snippets isolés.
Et parce que Google pousse désormais des blocs IA (AI Overviews / AI Mode) qui synthétisent tout ça directement dans la page de résultats, avant même le premier lien bleu.

En Allemagne, Google montre déjà un bloc IA pour près de 20 % des requêtes. Les “featured snippets” (position zéro) baissent, remplacés par ces réponses IA beaucoup plus riches.

Et déja rien qu’en AIO (sans compter AI Mode) nous avions déja cette proportion d’apparition en SERP européennes :

image

Et comme toujours, même si tu es “premier” en organique, visuellement tu es relégué sous des écrans entiers de réponse IA, vidéos, carrousels, cartes locales, comparateurs produits…. selon le type de requête. Et même, il peut y avoir des « direct answers » de Google en position 0 + AI Overviews :

SERP Renta per capita en Espana

Bref même en étant premier, tu es en bas de la page de TA requête.
Tu es premier… mais tu es invisible. D’où le fait de mesurer la visibilité plutôt qu’une position, Ça va de soi…mais toi, tu mesures ton indice de visibilité ?

Pour que ce soit clair, les AIOverviews ne sont pas toujours en première position, voici un exemple avec le mot-clé « paiement dividendes » :

AiOverviews nest pas nest pas quen haut de SERP lexemple du mot cle pago dividendos

Pire : Google te cite… sans te donner le clic

Dans l’AI Mode de Google, les choses deviennent violentes.

Ce que SISTRIX a mesuré sur 200 millions de réponses :

  • Dans 99,7 % des réponses IA, Google affiche des “sources” (donc il montre d’où vient l’info).
  • MAIS de vrais liens cliquables n’apparaissent que dans 19,1 % des réponses.

Belote : Pratique pour le grand G, non ?
Donc la plupart du temps, Google prend tes infos, te mentionne comme source pour se couvrir légalement… mais ne renvoie PAS le trafic vers toi.

Rebelote : encore mieux :
Quand il y a un lien cliquable dans l’AI Mode aux USA + UK, 91 % du temps ce lien renvoie… vers une autre propriété Google (Shopping, Maps, etc.), pas vers un site externe.

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Tu réalises ?
Tu bosses, tu produis la valeur, tu paies les experts, tu prends les risques juridiques.
Google prend la réponse, te cite pour crédibilité… et garde l’utilisateur.

Et tu pensais que ton KPI clé c’était encore les “sessions SEO” ?
Non. Le KPI devient “Est-ce que ma marque est citée comme référence crédible dans la réponse IA ?” mais ça n’apporte pas de business ça?! On en reparle plus bas 😉

“OK Nico, mais ChatGPT va tout nous voler aussi non ?”

Popopop… Ralentis ¡hermano!

Regardons les chiffres :

  • ChatGPT traite environ 2,63 milliards de messages par jour (source).
  • Entre 22 % et 50 % de ces messages ressemblent à une vraie recherche d’info (“comment faire X”, “quel produit choisir”, etc.) (source1 et source 2 car l’intervalle “22-50%” n’est pas explicitement dans le papier : ce sont des extrapolations ou simplifications.)
  • Donc ça fait entre ~0,57 et ~1,31 milliards de requêtes / jour comparables à une recherche Google.
  • Google, lui, tourne autour de 15 milliards de recherches par jour (source).

Ah et juste pour Info, YouTube génère chaque jour entre 3 et 6 milliards de recherches internes, selon différentes estimations non officielles (Global Media Insight, LinkedIn Insights). Je précise que ce chiffre n’est pas publié par Google, mais il est cohérent avec les ordres de grandeur connus : environ 122 millions d’utilisateurs quotidiens connectés et plus de 1 milliard d’heures de vidéos visionnées par jour.

En clair :

  • YouTube serait aujourd’hui le deuxième moteur de recherche du monde, derrière Google, devant Bing, Amazon et TikTok.

Là où je veux en venir, c’est que ChatGPT représente déjà entre 4 % et 9 % du volume de recherche de Google. Ce n’est plus un jouet. C’est déjà, mathématiquement, l’un des plus gros “moteur de recherche” du monde mais reste infimement important !

Bizzare ! Pourquoi ?

Je t’explique…. le truc qui change tout pour toi :

  • Dans environ 78 % des cas, ChatGPT répond à partir de sa mémoire interne (son dataset).
  • Il ne lance une vraie recherche web que dans environ 22 % des cas.
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Ça veut dire quoi ?
Que dans la majorité des cas, si ta marque n’était pas déjà présente, visible, crédible au moment où le modèle a pris sa data au monde entier… tu n’es même pas considéré. Dommage !

Encore une fois :
Ce jeu ne se limite plus à “ranker sur Google demain”.
Ce jeu consiste à :

“devenir une référence stable que l’IA réutilisera partout, même sans te re-consulter en live”.

Être cité par l’IA : ce n’est pas de la chance, c’est de « l’ingénierie d’autorité »

Dès qu’ils arrive dans l’hexagone, tu aimerais être repris dans AI Mode (Google), AI Overviews (Google), Perplexity, ChatGPT, Gemini… ?

Ok, et bien, comme on dit en espagnol, tu dois « habiller la mariée » mais surtout « être la mariée ». Je m’explique. Tu dois ressembler à (aka être) une source fiable et publiquement reconnue, pas juste à “un site qui a écrit un article SEO”.

Voici les briques qui fonctionnent bien depuis que je fais du SEO et dont je vois les résultats en LLM :

  1. Identité de marque claire et cohérente
    • Nom stable.
    • Positionnement assumé (“on est LES spécialistes de…”).
    • Signature visuelle et verbale répétée partout.
      Tu veux que l’IA comprenne : “C’est une entité, pas un blog anonyme.” (Voir cette conférence de la FePSeM sur laquelle je t’explique comment faire)
  2. Preuve d’expérience
    • Chiffres propriétaires.
    • Études réelles.
    • Cas concrets.
    • Comparatifs issus du terrain.
      Exemple : “Sur 200 millions de réponses IA analysées, on constate que moins de 20 % des réponses contiennent des liens cliquables externes.”
      Ça, c’est cit-able. Ça, c’est repris. Ça, c’est mémorisé par les modèles.
  3. Contenu multicanal
    Texte long, oui.
    FAQ courte, oui.
    Vidéo où on te voit expliquer, OBLIGATOIRE.
    Pourquoi ? Parce que YouTube ressort systématiquement comme l’une des sources les plus citées dans l’AI Mode. Google adore citer YouTube. Surprise : YouTube = Google.
    Donc si tu n’existes pas en vidéo, tu joues le match sans crampons.
  4. Validation externe (c’est ici que beaucoup de boîtes échouent)
    Ce n’est pas suffisant “d’avoir publié sur ton blog”.
    Il faut que D’AUTRES sites te citent. Oui, je parle de liens. OMG !
    Oui, je parle de RP.
    Oui, je parle de présence dans la presse et les médias du secteur. Pourquoi c’est critique ?
    • Parce que dans l’AI Mode de Google, quand une marque est mentionnée, elle n’apparaît presque jamais seule. En moyenne, Google cite 3,87 marques dans la même réponse. Et dans 42,2 % seulement des réponses IA il y a au moins une marque citée par son nom. Donc quand Google ose mettre ton nom dans ce club réduit… tu es mis sur scène à côté d’autres acteurs considérés sérieux.
    Tu veux être dans ce cercle-là.
    Donc tu dois exister dans l’écosystème pro, pas juste dans ton propre site.

Comment tu fais quand tu n’as pas d’équipe presse interne ?
→ Tu fais du contenu à forte valeur (données, angles, controverses, tendances marché).
→ Tu le fais publier sur des médias et blogs sectoriels qui ont déjà de l’autorité.
→ Tu utilises des plateformes comme WhitePress pour obtenir des publications éditoriales de qualité avec ton nom, ton expertise, ton étude, ton message positionné proprement. Ce n’est pas vraiement “acheter du lien pour le ranking”. Tu comprend la différence ?
C’est :

“mettre ta marque dans le paysage perçu comme fiable par Google et les LLM”.


C’est aussi entraîner l’algorithme à te considérer comme une source à citer.

La voix arrive enfin pour de vrai… Tu es prêt ou tu es muet ?

Un détail que beaucoup sous-estiment car échaudé par la tentative d’introduction il y a X années : la voix.

Les assistants IA vont répondre en UNE phrase. Et pas te lire la SERP… Merci !
Si ta marque ne sait pas donner une réponse courte, sûre, prononçable… tu n’existes pas pour la recherche vocale IA.

Ce que j’ai remarqué qui permet d’être 1 présent et 2 cités c’est surtout lorsque tu as :

  • Écris des réponses orales (“La réponse courte : …”).
  • Structurés tes contenus pour qu’on puisse citer ta conclusion sans l’éditer.
  • Un discours simple, direct, sans jargon, qui passe à haute voix sans honte.

Tu veux devenir “la phrase qu’on répète”.
Pas juste “le PDF qu’on référence”.
Je l’ai déja dit dans ce webinar d’Elliot Bobiet : Répond d’abord, explique après.

Intentions Visit in person (Local), Do (transactionnel) : mort ou pas mort ?

Pas mort.
Déplacé.

En local :
Google contrôlait déjà la visibilité via les packs locaux et Maps.
AI Mode ne tue pas ça. AI Mode le pré-digère.
Tu n’es plus “un résultat parmi d’autres”, tu es “l’adresse que la réponse IA recommande maintenant”. Et on a aussi un carroussel quasi identique, regardes pour la requete « nightclub in london » ce que montre l’AI Mode :

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Donc le local reste jouable, mais la barre monte :

  • Cohérence NAP (Name Adress Phone).
  • Avis crédibles.
  • Signal d’autorité locale (articles presse locale, annuaires sérieux, etc.).
  • Présence claire dans l’écosystème Google (Maps, Business Profile, etc.).

En transactionnel / e-commerce :
Google met le paquet sur les résultats produits, carrousels, comparateurs, Shopping.
Pourquoi ? Parce que c’est monétisable.
Ils n’ont aucune intention d’arrêter d’imprimer de l’argent là-dessus.

Mais retiens ceci :
Même sur une intention d’achat, l’utilisateur peut être influencé AVANT de voir ta fiche produit.
La première recommandation peut sortir direct du bloc IA.

Encore une fois :

Tu veux être “la marque recommandée”, pas juste “le site qui ranke en organique”.

OK. Je fais quoi maintenant, concrètement, sans paniquer ?

Voici ton plan d’action immédiat. Mode Nicolas Audemar ON !

  1. Choisis ton territoire mental
    Pour quel sujet précis veux-tu être LA référence citée ?
    Pas “on est une agence 360”.
    Un angle clair. Défendable. Répétable.
  2. Documente ta valeur avec des données propriétaires
    On a audité 127 cas, 61 % échouent à cause de X.”
    Sur 200M de réponses IA, moins de 20 % ont des liens externes cliquables.
    Ça, c’est ce que l’IA adore : des faits vérifiables, attribuables à une source identifiable.
  3. Décline ton contenu en multi-format
    • Article long (vision + pédagogie).
    • FAQ courte (langage naturel).
    • Vidéo face caméra (crédibilité humaine).
    • Slides / mini rapport qu’on peut citer.
      Pourquoi ? Parce que YouTube est une des sources les plus reprises par l’AI Mode de Google. Si tu n’es pas en vidéo, tu n’es pas dans la shortlist.
  4. Fais circuler ton nom hors de chez toi
    C’est ici que la plupart tombent.
    Ta vérité doit exister ailleurs que sur ton blog. Comment tu fais si t’as pas une équipe RP senior ?
    → Tu utilises les leviers RP + netlinking éditorial intelligent.
    → Tu vas chercher des parutions dans des médias sectoriels crédibles.
    → Tu passes par des plateformes comme WhitePress pour placer des contenus d’expert qui ne sont pas juste “du SEO”, mais une prise de position avec ton nom dessus, publiée dans un contexte sérieux. Objectif :
    Quand Google (ou un LLM) cherche “qui je peux citer pour ne pas avoir d’ennuis”, tu fais partie de la short list.
    Pas par hasard. Par design.
  5. Mesure la visibilité, pas seulement les positions
    On s’en fout d’être “#1” si #1 est sous trois écrans de bloc IA.
    Tu dois suivre :
    • Est-ce que ta marque apparaît dans AI Mode sur ton sujet ?Avec quelles autres marques tu es cité(e) dans la même réponse ? (c’est ton univers perçu)Est-ce que tu es nommé sans lien ? (c’est frustrant, mais c’est une validation d’autorité énorme)
    Les outils type SISTRIX te donnent déjà cette visibilité IA : qui est cité, à quelle fréquence, sur quelles requêtes, et comment ça évolue. C’est ton nouveau tableau de bord stratégie, pas juste ton classement mot-clé.
  6. Relis et durcis la qualité éditoriale
    On ne balance pas (ou plus) du texte IA non relu.
    On ne publie plus du “contenu SEO” sans vérifier si ça tient juridiquement, si ça reflète notre expertise réelle, si ça renforce la marque.
    On agit comme un responsable support qui teste le chatbot avant mise en prod :
    • Est-ce que la réponse est claire ?
    • Est-ce qu’elle résout vraiment le problème ?
    • Est-ce qu’on peut la citer sans nous ridiculiser ?
    • Est-ce que ça sonne comme NOUS, pas comme n’importe qui ?

Le basculement mental que tu dois faire maintenant

Tu passes de :

  • “Comment je génère du trafic ?”
    à
  • “Comment je deviens la référence que l’IA va citer quand elle répond à ma place ?”

Tu passes de :

  • “On fait du SEO”
    à
  • “On entraîne la perception de notre marque dans l’écosystème IA

Tu passes de :

  • “On achète quelques liens pour ranker”
    à
  • “On fabrique une autorité publique, répétée, vérifiable et réutilisable par les modèles

Et oui, ça implique :

  • De l’anticipation (voir les problèmes avant qu’ils deviennent mots-clés),
  • De l’empathie (parler humain),
  • Des données propriétaires (pour être citables),
  • Du multi-format (texte + vidéo + oral),
  • De la distribution externe (RP, publications pros),
  • De la cohérence de marque (tu parles toujours depuis la même posture).
  • De la mesure du tout (Sistrix)

Parce que demain, l’utilisateur ne tapera peut-être même plus ta requête.
Il dira “Fais-le pour moi”.

Et l’IA dira un nom.

Ta mission maintenant est simple :

Fais en sorte que ce nom soit le tien.

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